Pour lutter contre la propagation du Covid-19, les laboratoires Pfizer et BioNTech ont annoncé avoir déposé un brevet le 30 janvier 2020, qui a été validé par l’Office européen des brevets (OEB). Ils proposent une méthode de test du virus par PCR dans le sang, afin de détecter la présence du virus et de suivre l’évolution de la contagion. Le produit n’est donc pas encore breveté, mais il a le potentiel de se développer dans les années à venir.

Ces deux géants de l’industrie pharmaceutique se sont emparés de la question du diagnostic du coronavirus. Dans un communiqué publié le 30 janvier 2020, ils ont annoncé avoir déposé un brevet pour une méthode de test du virus. Ce brevet a été déposé aux États-Unis le 30 janvier 2020 et sera donc validé par l’OEB dans les prochains mois, rapporte France 3. Cette annonce est le fruit de plusieurs mois de recherches.

Développée en collaboration avec des cliniciens et des médecins, cette méthode consiste à analyser le sang pour détecter le coronavirus. Pour cela, le patient doit effectuer un prélèvement dans un appareil qui va analyser la présence des anticorps et des virus présents dans son sang. Cette méthode est utilisée depuis 2018 pour détecter le paludisme, la tuberculose ou encore la dengue dans le sang. Cette méthode a également été utilisée en Chine pour diagnostiquer le nouveau coronavirus et a été utilisée par l’Iran dans un premier temps.

Développée en partenariat avec l’Institut Pasteur, cette méthode a été testée sur des patients hospitalisés dans le service de réanimation de l’hôpital de Villejuif. Une centaine de personnes ont ainsi reçu un test de dépistage du coronavirus. Il s’agit d’une technique en « mode passif » : le patient ne va pas forcément être contaminé par le virus en recevant un prélèvement sanguin.

La méthode de diagnostic de ces chercheurs est basée sur le séquençage de l’ARN. Cette méthode ne nécessite pas d’antibiothérapie et ne peut donc pas être utilisée pour lutter contre le nouveau coronavirus.

Dans un communiqué, Pfizer et BioNTech ont annoncé la validation de cette méthode de diagnostic par l’OEB dans les prochains mois. Cette validation permettra ainsi à ce produit d’être disponible dans les mois à venir. Il est possible de réaliser cette méthode sur le sang, la salive ou le liquide nasal.

Pour l’heure, ce produit est réservé aux recherches cliniques et n’est pas encore approuvé pour un usage généralisé.

Pour lutter contre le coronavirus, le gouvernement a donné la possibilité à certains patients de bénéficier d’un test de dépistage par PCR dans les centres de santé. Pour cela, les patients devront avoir en leur possession un justificatif d’hospitalisation ou de consultation médicale. Ces tests pourront être réalisés sur la base du volontariat ou par le biais d’un système de quotas.

Les États-Unis et le Royaume-Uni ont déjà recours à cette méthode

Si le produit du laboratoire Pfizer et BioNTech a été validé par l’Office européen des brevets, il n’est pas encore disponible pour un usage public. L’OEB a précisé que les tests effectués sur le nouveau coronavirus pourraient être utilisés pour traiter les patients qui ne présentent pas de symptômes de la maladie. Ils pourront ainsi effectuer un prélèvement sanguin et analyser la présence d’anticorps dans le sang.

Cette méthode de diagnostic est la première dans le monde pour le nouveau coronavirus et pourrait être utilisée pour détecter le virus dans d’autres pathologies, comme les accidents vasculaires cérébraux.

L’utilisation de cette méthode de diagnostic dans le cadre de la lutte contre le nouveau coronavirus a été évoquée par Donald Trump sur Twitter. Le président américain a également écrit que cette méthode de diagnostic pourrait être utilisée pour détecter la maladie dans les prochaines semaines.

La méthode de diagnostic du coronavirus proposée par les deux géants pharmaceutiques est basée sur le séquençage de l’ARN. Pour cela, le patient devra effectuer un prélèvement dans un appareil qui va analyser la présence des anticorps et des virus présents dans son sang. Elle a également été utilisée en Chine pour diagnostiquer le nouveau coronavirus et a été utilisée par l’Iran dans un premier temps.

Développer un test du coronavirus en France ?

Le ministre de la Santé Olivier Véran a annoncé le 26 janvier 2020 que ce nouveau test sera disponible à partir de mi-février en France. Pour cela, une équipe de recherche doit mettre au point un nouveau système pour analyser le Covid-19.

Le gouvernement a ainsi décidé de mettre en place une stratégie pour permettre aux personnes atteintes du Covid-19 de bénéficier d’un test de dépistage.

Depuis le début de la crise, de nombreuses personnes sont hospitalisées dans les hôpitaux français en raison de symptômes du nouveau coronavirus.

Aujourd’hui, la France est le seul pays au monde à avoir mis en place ce système de test du nouveau coronavirus. La France compte actuellement plus de 20 000 personnes atteintes par le virus Covid-19.

En Chine, des tests de dépistage du coronavirus sont réalisés

En Chine, plusieurs dizaines de personnes ont été dépistées pour le nouveau coronavirus. Plusieurs cas sont actuellement recensés en Chine et à Hong Kong. Le nombre de personnes contaminées est en augmentation.

Le gouvernement chinois a décidé de tester un maximum de personnes dans le pays. La moitié de la population chinoise a été testée et a confirmé un premier cas de coronavirus. Le gouvernement a également décidé de mettre en place un dépistage massif. Un centre de dépistage a été créé à Pékin et deux hôpitaux ont été mobilisés pour l’occasion.

Le coronavirus est une maladie respiratoire qui touche principalement les voies respiratoires supérieures et inférieures. Elle peut être mortelle dans certains cas.

L’OMS a annoncé le 14 février 2020 la détection du nouveau coronavirus en Chine. La Chine a ainsi indiqué que le nouveau coronavirus était une maladie respiratoire qui touche principalement les voies respiratoires supérieures et inférieures.

Le 11 février 2020, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a également annoncé la découverte de deux nouveaux cas dans la province du Hubei en Chine. Il s’agit du premier cas connu de transmission humaine du nouveau coronavirus à l’échelle mondiale.

Le nouveau coronavirus est une maladie respiratoire qui touche principalement les voies respiratoires supérieures et inférieures. Il peut être mortel dans certains cas.

Les deux patients sont désormais en isolement dans un hôpital et ont été placés sous respirateurs. Le virus a été détecté par le laboratoire de microbiologie de l’hôpital de Wuhan, dans la province du Hubei. Le 20 février, des échantillons du virus ont été envoyés au laboratoire de microbiologie de l’Institut de médecine chinoise de Pékin pour des analyses supplémentaires.

Dans un communiqué publié le 20 février, le ministère de la Santé de Chine a indiqué que les deux patients avaient été traités et qu’ils se trouvaient dans un état stable.

Les résultats des analyses seront communiqués au cours de la semaine prochaine.

En France, le nombre de cas de coronavirus a été confirmé dans le pays le 14 février. Un premier cas a été détecté dans le Pas-de-Calais et un deuxième en Ile-de-France.

La France a également annoncé la détection du premier cas de coronavirus au Maroc, le 26 janvier 2020. Le premier cas a été confirmé en France, le 14 février. L’OMS a confirmé la détection du nouveau coronavirus à l’échelle mondiale. Il s’agit d’un virus qui touche principalement les voies respiratoires supérieures et inférieures.

Le nombre de cas de coronavirus est en augmentation dans le monde. 32 pays et territoires ont déclaré avoir enregistré des cas de coronavirus à ce jour. Au total, 638 personnes ont été contaminées par le nouveau coronavirus à ce jour.

Selon l’OMS, 12 personnes sont décédées du coronavirus en France. L’état de santé des patients a été suivi de près par les autorités françaises.

Les deux patients hospitalisés à Paris sont en bonne santé. Ils sont actuellement en isolement dans un hôpital et ont été placés sous respirateurs.

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